Bureau du Lieutenant de Police de Périgueux

Invité

Argenntia détourna la tête entendant Tancrel, puis elle reposa ses yeux sur Dame Meline, lorsque celle-ci rétorqua :

-Simples détails si je puis me permettre. Vous avez tous les deux raisons.*s'appuyant entre temps contre le mur*En effet, Sire Yodea avait, il y a quelques temps, écrit dans un de ces courriers pour les citoyens que pour les candidatures, il fallait s'adresser à lui. Mais...Elle chercha alors dans sa poche, pour finalement ressortir un papier légèrement abimé qu'elle venait de se recevoir.Mais dans la lettre du Maire que je viens de recevoir et qui s'adresser à tous les citoyens, il est écrit "La ville de Périgueux est toujours à la recherche d'un douanier et de sergents de police. Veuillez contacter notre lieutenant de Police, dame Argenntia."

Invité

Bonjour lieutenant,

Lorsque vos deux nouveaux sergents auront trouvé leur chemin jusqu'ici dan les couloirs, merci de leur demander de lire et signer la charte des forces de police, ainsi que le memento qui les aiguillera bien sur le travail à effectuer.
Les deux se trouvent sur mon bureau.

Je vous laisse libre de la formation à leur donner, et reste à votre disposition si besoin bien entendu.

Invité

Ioz trouva enfin le bureau de police de Périgeux après avoir fait trois foit le tour du château.

Pfff, qu'est-ce que c'est grand ici.

Il devait apparament commencer sa formation en se renseignant auprès de dame Argenntia.
Il toqua à la porte du bureau, puis ouvrit la porte et demanda:

S'cusez moi, c'est bien ici le bureau de police de Périgeux ?
Parait que je dois demander ma formation de sergent le plus tôt possible, auprez de dame Argenntia.

Invité

Après une mauvaise nuit passé en prison pour vagabondage, Tancrel profitait de la tièdeur et du comfort du poste de la maréchaussés en faisant semblant de travailler sur un dossier peu important mais avec un gros tas de parchemins d'archive.

Bien sûr, l'ennui le gagna et il ronflait sur les papiers parsemés sur le bureau.
A l'arrivée de Ioz, il sursauta de surprise.
Il se leva et claqua un garde à vous trop correct pour être honnête
"A vos ordre dame la prévot!"
Quel fut la surprise en voyant Ioz.
"Oh c'est vous Ioz...ouf! Dieu soit loué!!
Vous cherchez Argenntia? Elle ne devrait pas tarder, elle est partie faire une ronde à l'extérieur de la ville..attendez ici je vous prie"
Puis Tancrel osa en sortant une bouteille de vin de derrière un tableau cachant une petite alcove.
"vous allez bien prendre un petit pot avec moi en attendant hein?"

Invité

Ioz ne trouva que Tancrel sommnolant sur un tas de parchemin, le sire se réveilla en sursaut en l'acceuillant en tant que prêvot et trouva que les sergents ce n'est plus ce que c'était.

Puis Tancrel osa en sortant une bouteille de vin de derrière un tableau cachant une petite alcove.
"vous allez bien prendre un petit pot avec moi en attendant hein?"

Pourqoi pas Tancel, j'éspère au moins que vous aurez le temps de cuver avant que votre lieutenant arrive.

Invité

Tancrel écouta Ioz et se prit d'un fou rire.

Mon Lieutenant? Soucieuse de mon état boulassique?

Tancrel eut un rire encore moins discret.

Disons qu'elle boit aussi...
Elle leve bien la chopine, crois moi! Même une sacré descente.

Pis, je te dirais que jusqu'à là, cela n'a pas trop dérangé.

Invité

Argenntia poussa la porte de son bureau au moment où Tancrel parlait :

"Disons qu'elle boit aussi...
Elle leve bien la chopine, crois moi! Même une sacré descente.

Pis, je te dirais que jusqu'à là, cela n'a pas trop dérangé."

Elle sourit et posa les yeux sur la bouteille, s'en servit un verre et bascule cul-sec :

-C'est de ça que tu parles ?

Elle rigola et salua Sire Ioz :

-Je suppose que vous êtes venu pour votre formation. Je vous conseille tout d'abord de lire les mémentos des forces et de signer la chartre des forces de polices. Vous trouverez sans mal le tout dans le bureau du prêvot.

Le Lieutenant, finissant sa phrase, vit Dame Meline passait par la couloir. Elle sortit en courant de son bureau et interpella la prévôt du PA :

-Bonjour Dame, désolée de vous faire perdre du temps mais j'avais une petite question à vous demander. Est-ce que le sergent Tancrel et moi-même pouvont partir ce vendredi ?

Argennt' attendit la réponse de son supérieur, encore essoufflée de sa courte course.

_________________________

(HRP : Veuillez m'excuser pour cette attente, pas eu le temps de répondre hier. Désolée. /HRP)

Invité

Citation :: -Je suppose que vous êtes venu pour votre formation. Je vous conseille tout d'abord de lire les mémentos des forces et de signer la chartre des forces de polices. Vous trouverez sans mal le tout dans le bureau du prêvot.

Ioz était parti peu après l'ordre reçu et avait passé 2 jours à potasser sérieusement les mémentos, pour ensuite signer la charte.
Il rentra dans le bureau.

'Lu les "travailleurs" !
J'ai fini ce que vous m'avez demandé de faire mon lieutenant, je peux recevoir mes nouvelles directives ?

Puis l'adolescent attendit la réponse.

Invité

Code:: Hum le lieutenant est occupée à méditer après son repas un peu trop arrosé.
Donc, Ioz vois comment sont rédigés les rapports et fait de même.

Marché
--> Regarde la grille des prix maximum affiché en mairie et compare avec le marché.
Note dans ton rapport si il y a des prix plus haut

esclavagisme
--> tu fais la même chose avec les contrats de travail.

Ensuite, tu notes les personnes qui ont été présentes hors de la ville
--> Evenement dans ta fiche personnage.
Tu notes uniquement ce que tu as vu dans la journée.

Ensuite tu notes les groupes et armées présentes.
Tu vas dans hors de la ville, groupe et armées.

Voila, j'attends de voir mon garcon.
Allez hop hop, au pas de trot!

[b]

Invité

Bonjour à tous,

Lieutenant Argenntia et sergent Tancrel, vous êtes autorisés à partir afin de pouvoir revenir et vous installer vraiment à Perigueux, bien entendu.

Lieutenant, merci de designer votre remplaçant durant cette periode et de lui indiquer les choses importantes à faire chaque semaine.

Pour les sergents Ioz, Baptiste et Hedges, n'hésitez pas à poser des questions si vous avez un doute sur les choses à faire.

Lieutenant, si vous pouviez simplement me preparer le planning de la semaine prochaine avant de partir, je vous en serai grée.

Invité

-Bonjour Dame,

Est-ce nécessaire de désigner un remplaçant étant donné que je peux tout de même surveiller mes sergents malgré la distance.

Voici le planning :

Lundi : Ioz
Mardi : Ioz
Mercredi : Ioz
Jeudi : Hedges
Vendredi : Hedges
Samedi : Baptiste
Dimanche : Baptiste

Si un de vous a des indisponibilités, n'hésitez pas à me le signaler.
Nous serons absents moi et le sergent Tancrel environ un mois voir plus. Essayez de vous entraidez entre vous, si vous avez des questions envoyez moi un courrier ou demandez par ici. Voilà, j'espère que tous se passeras bien.[i]

Invité

Eh bien soit lieutenant, si vous vous sentez la force d'assumer la fatigue du voyage et le suivi à distance de votre equipe, je n'y vois pas inconvenient.

Merci pour le planning.

Bon voyage à vous.

Invité

Lieutenant,

sieur Hedges ayant demissionné car appelé par son role de soldat, je vous remercie de remagner le planning.

bonne journée

Invité

En effet, je suis au courant, donc :

Lundi : Ioz
Mardi : Ioz
Mercredi : Ioz
Jeudi : Ioz
Vendredi : Baptiste
Samedi : Baptiste
Dimanche : Baptiste

Invité

Bonjour,

Le sergent Ioz n'a pas pris sa garde hier, je lui envoie de nouveau l'offre aujourd'hui comme prévu au planning, nous ne pouvons laisser la capitale sans surveillance, merci de voir avec lui qu'il accepte bien l'offre lieutenant.

Invité

Gadzelle entra dans le bureau. Après 20minutes de vagabondages dans les couloirs du château, elle était enfin tombée sur quelqu'un qui avait pu lui indiquer un chemin moins alambiqué que les autres.

Elle vit deux fauteuils devant le bureau - surement celui du lieutenant - s'affala sur le premier des deux et souffla un bon coup.

Une fois reposée, elle sortit quelques parchemins de ses poches, et se mit à les étudier. Elle attendait son lieutenant pour ses nouveaux ordres, et peut être les autres sergents, elle n'avait pas encore rencontré toute l'équipe.

Invité

Argenntia s'était levée de bon matin, oui, 8:30 c'est tôt ! Heureusement pour elle, les effets de l'alcool d'hier soir c'était dissipé. Elle poussa la porte de son bureau, pas encore tout à faire réveillée. Elle regarda le fauteuil en face du sien puis se frotta les yeux, se demandant si il y a avait réellement quelqu'un là. Bah oui, il était trop tôt pour que quelqu'un se pointe. Mais non, elle ne rêvait pas, il y avait bien quelqu'un, et plus exactement, la douanière Gadzelle. Apparemment, elle ne l'avait pas vu rentré et c'était mieux ainsi. Elle prit la parole, au risque de lui faire peur :

-Bonjour ! Qu'est-ce que vous faites ici de si bon matin ?

Ne lui laissant pas le temps de répondre, la Lieutenante s'assit à son bureau et sortit un courrier de sa poche, qu'elle lui tendit. On pouvait y lire :

Citation :

Bonsoir Lieutenante,

voila qui est fait. Je vous ai également laissé un accès libre.
Bonne soirée.

Matpel

-Oui, je sais, ça signifie rien mais si je vous dis que c'est une réponse à ma demande d'accès OMCF pour vous, c'est tout autre chose. Vous pouvez commencer votre travail dès aujourd'hui, je suppose que vous avez lu les mémentos et que vous arriveriez à vous débrouillez, sinon, n'hésitez pas à me demander ! Je suis là pour ça.

La jeune femme réfléchit quelques instants puis reprit :

-Et si vous croisez les sergents Ioz et Baptiste, envoyez les moi ici, j'ai à leur parler. Merci.

Invité

Ioz se rendait au poste de police pour poster son rapport, il connaissait maintenant le chemin par coeur...ou presque.
Une fois à droite puis à gauche; il tomba nez à nez avec la porte du bureau du lieutenant.
L'adolescent entendit qu'apparament on voulait le voir avec l'autre "feignant" qui ne faisais pas ses rapports .Il toqua à la porte et entra dans le bureau, l'adolescent vit une femme assise dans un fauteil et le lieutenant Argenntia.

"Vous vouliez me voir, mon lieutenant ?"lui demanda l'adolescent.

Invité

Elle somnolait. Elle s'était assoupi et le regrettait grandement maintenant: quelqu'un en avait profité pour entrer dans la pièce et lui faire peur.

Citation :

Bonjour ! Qu'est-ce que vous faites ici de si bon matin?

Sa lieutenante! Elle lui avait flanqué une de ses frousses! Son coeur battait encore beaucoup trop fort dans sa poitrine quand elle se redressa sur son siège et tenta d'avoir une tenue correcte.
Pas le temps de se justifier, elle s'entendit juste préciser qu'elle avait ses nouvelles autorisations toutes prêtes.
Un sourire béat sur le visage, les yeux perdus dans le vague, elle commençait à réfléchir au protocole à appliquer pour sa première journée de travail, quand elle se rendit compte qu'on était en train de parler:

Citation :

Et si vous croisez les sergents Ioz et Baptiste, envoyez les moi ici, j'ai à leur parler. Merci.

Le temps de revenir à elle, un homme était entré dans la salle.

Citation :

"Vous vouliez me voir, mon lieutenant ?"

Contrastant fortement avec son apathie précédente, elle se leva d'un coup, les yeux brillants, se précipita vers le nouveau venu en lui tendant la main:

Bien le bonjour, vous devez être Ioz, le dernier sergent de la troupe, celui que je n'avais point vu. Ravie de vous rencontrer, vraiment ravie. Voyez vous c'est mon premier jour de travail et...

Elle ne cessait de lui secouer la main tout en l'abreuvant de son flot de paroles ininterrompu. Devant l'air légèrement surpris de son interlocuteur, et celui amusé de sa lieutenante, elle se rendit compte qu'il devait se demander qui était cette énergumène qui lui secouait la main...pour ne pas dire qui lui démontait gentiment l'épaule.
Elle lâcha prestement la main en question, lui épousseta des poussières invisibles sur ses épaules pour faire bonne figure, puis lui lançant avec son plus beau sourire:

Je me nomme Gadzelle de Périgueux, je suis la dernière arrivée dans notre troupe de la maréchaussée, engagée en tant que douanière de Périgueux mon sergent.
J'espère que nous allons bien nous entendre, et nous voir souvent ici, ou en taverne.

Ça y est, elle s'était calmée. Ces petites crises d'excitation lui arrivaient parfois, et le sergent venait d'en faire les frais. Elle se mordit la lèvre en espérant qu'il ne la jugerait pas sur cette première impression, sauf si elle était bonne!
Se rappelant ses devoirs, elle se tourna vers la troisième personne présente:

Ma lieutenante, j'ai toutefois une question avant de vous laisser discuter, j'ai lu dans mes nombreux papiers...Zut, elle ne trouvait pas le papier en question, il n'était pas loin pourtant!Bref, sur un des anciens décrets de dame Cheyenne, il était précisé que les douaniers de Périgueux n'avaient pas besoin de rappeler aux nouveaux arrivants dans leur ville les lois en cours dans le comté, vu qu'ils sont censés en être déjà avertis par les douaniers des autres villes. Mais si j'ai bien compris je dois quand même le faire avec l'édit de Périgueux c'est bien ça? Et cela avec tous les nouveaux arrivants, qu'ils soient du comté ou d'ailleurs?

Elle se détendit, tous ses papiers lui encombrant les bras, tout en détaillant discrètement le nouveau venu, enfin elle devait se dire le sergent Ioz; et attendit une réponse à ses interrogations.

Invité

Argenntia rangea un ou deux papiers avant que le sergent Ioz rentre. Elle fit un signe de tête et le salua :

-Bonjour Sergent. Oui, je vous cherche. Mais évitez d'écouter aux portes, ça n'a pas le don de me plaire énormément.

Elle avait parlait d'un ton assez froid, mettant dès le début les points sur les i. Le temps de laisser la jeune femme parler, que Gadzelle s'était déjà levé et secouait avec énergie le bras de son sergent. Elle sourit, amusée de ce comportement :

-Allez y doucement, j'en ai encore un peu besoin...

Gadzelle s'arrêta alors brusquement, puis la Lieutenante se leva lentement lorsque l'autre posait sa question. Elle réfléchit quelques instants puis répondit :

-Et bien, à ce que je sais, vous n'êtes pas obligée d'envoyer un courrier pour ces arrivants, mais oui, ça serait bien. Ça éviterait peut être quelques erreurs de ces voyageurs, bien sûr, si vous avez du temps pour ! Bon travail ! Si vous vouliez, j'ai maintenant à parler aux sergents et je doute que vous aimeriez être à leurs places.

Argenntia ouvrit la porte, laissa la douanière sortit et referma la porte derrière.

-Sergent, je vous en pris, asseyez vous. On va attendre un petit moment le sergent Baptiste et si il ne montre pas le bout de son nez, j'irai le chercher...de gré, ou de force.

Tout en parlant, elle désigna du menton un des deux sièges noirs en face de son bureau.

Invité

Baptiste arriva à la porte du bureau du lieutenant et toqua. Il entra quand il entenda "entrée"
-J'ai entendu que vous me cherchiez je suis là.

Invité

La Lieutenante finissait tout juste sa phrase, qu'un toquement de porte se fit entendre. Ne prenant pas la peine d'aller ouvrir elle-même, peut être de flemme ou plutôt de lassitude, elle s'exclama :

-Entrez !

A la vue du Sergent Baptiste, un large sourire ironique apparue sur le visage de la jeune femme. Baptiste expliqua les causes de sa présence, pendant qu'Argenntia se levait :

-Bien, asseyez vous, ça serait peut être plus confortable pour encaisser...

Un silence demeura roi quelques instants, laissant planer le doute dans le bureau lorsque Arg' reprit la parole, cette fois-ci d'un ton décidé et sévère :

-Je suis sérieusement déçue de votre attitude pendant mon absence ! Depuis un mois, je ne compte pas beaucoup de rapports effectués, par contre, d'absences pour s'occuper de défendre le pouvoir, là, vous êtes doués pour ça ! Et que je le dise tout de suite, JE NE VISE PERSONNE ! Vous êtes tous les deux concernés et ils seraient temps d'assumer vos erreurs et de vous remettre au travail ! Vous n'êtes pas là pour glander ou boire un petit coup...NON ! Je vous pris dès aujourd'hui, de faire votre rapport sur l'esclavagisme et le marché TOUS LES JOURS ET NON PAS QUAND VOUS EN AVEZ LE TEMPS, quitte à avoir deux rapports pas jour, de regarder le planning et DE PRÉVENIR A L'AVANCE SI VOUS N'ÊTES PAS DISPONIBLE ET DE FORME UNE ÉQUIPE !

La Lieutenante reprit son souffle, à moitié rouge de colère, les cheveux dans la figure dû aux gestes brusques sous le coup de l'énervement.

Invité

Baptiste regarda son sergent tout étonné .Il se sentais ...bête... .Il prit la parole.[i]
-Bon...et bien...je ferais se que vous dites même si je ne risques pas d'y arriver vraiment...
[i]Il soupira en regardant sa lieutenante rouge de colère

Invité

Ioz venait juste d'entrer dans le bureau que la dame assise se leva d'un bond et lui tendit la main, qu'il seras par politesse, après qu'elle se soit présenter, l'adolescent fit de même.
Il commencait a avoir l'épaule tordu lorque la crise d'excitation de Gadzelle sembla s'être calmé après que le sergent lui ai dit qu'elle avait encore besoin de lui.

Seulement un peu ?répondit-il en souriantEn tout cas enchanté dame Gadzelle, comme vous l'avez compris je suis Ioz.

Gadzelle se mit soudainement à épousseté les épaules du jeune homme.La position rapproché de Gadzelle émit en lui un gêne agréable, il commençait à rougir et espérait que cela ne se remarquerais pas.

Il s'assit sur le conseil de son lieutenant et attendit que Baptiste arrive.
La remarque sur le fait d'écouter à la porte le mis encore plus dans la gêne, lui et sa fichu curiosité !

Arriva ensuite l'engeulade, ça faisait longtemps qu'il ne s'était pas fais passé un savon comme ça, du temps où il habitait à La Flèche peut-être...
Il s'aperçut à se moment qu'il avait vraiment raté son coup et attendit un peu que la lieutenant se calme et lui dit:

A vos ordre mon lieutenant, de pareil erreurs ne se reproduiront plus.

Puis il prit congé des autres et alla faire son rapport.

Invité

Argenntia soupira, et aux mots d'Ioz, s'exclama :

-Deux secondes, je ne vous ai pas permis de sortir !

A moitié calmée, elle reprit, d'un ton plus posé et bien plus aimable :

-Si vous voyez des pains à 8.00 écus ou 10.00 sur le marché, ils appartiennent à la mairie ou aux comtés, ils font office de ticket pour les différentes loteries. Ils seront bientôt mis en vente à 8.01 et à 10.01 écus pour que vous pussiez les reconnaitre. Toutes les denrées sur le marché avec un denier appartiennent à la mairie, il est inutile de les noter dans le rapport, la mairie vends au prix qu'elle veut.

Désignant la porte et la sortie, elle les laissa partir :

-Je ne vous retiens pas, vous savez où est la sortie et j'espère ne peut vous revoir ici pour les même raisons qu'aujourd'hui. La prochaine fois, ça ne sera pas à moi que vous aurez à faire mais au prévôt. Bon travail...

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